Chers paroissiens,
Voici quelques compléments d’annonces ou d’informations.
Ce vendredi 13 mars, nous sommes en communion avec l’Eglise, le pape François ayant souhaité « 24h pour le Seigneur« . Nous aurons le chapelet médité à 12h30. Il y aura bien l’Heure Sainte d’adoration de 15h à 16h ainsi que la messe à 18h.
Ce samedi 14 mars se tiendra une journée portes ouverte à l‘Institut Saint Louis du Barroux, de 13h30 à 17h.
Notez aussi que ce dimanche, la circulation sera sans doute un peu perturbée par la course « run in Marseille ». Vous trouverez ici les infos concernant la circulation. Le vicaire général venant nous rendre visite, essayons d’être aussi ponctuels que possible pour l’accueillir !
Je vous fais part d’un concert qui se tiendra à l’Eglise Saint-Charles le mardi 31 mars (Mardi Saint) à 20h30. Au programme : Stabat Mater de Pergolesi, avec Benoit Dumon, Benedicte Pereira et Agnès Nurdin.
En outre, je vous rappelle quelques normes liturgiques sur les différentes positions des fidèles au cours de la messe. Celles-ci diffèrent entre la messe lue (comme la messe de 9h le dimanche ou les messes de semaine) et la messe chantée.
Aux messes lues, les fidèles sont à genoux pendant les prières aux bas de l’autel, et se lèvent au « Dominus Vobiscum », lorsque le prêtre monte à l’autel. (Retenez qu’à chaque fois que le prêtre vous invite à la prière par un « Dominus vobiscum », il faut se mettre debout, à la messe chantée comme à la messe lue). Ils s’assoient pendant la lecture de l’épitre, se mettent debout pour l’Evangile. Ils s’assoient juste après que le prêtre ait lu l’antienne d’offertoire. Ils se mettent debout pour le dialogue avant la préface et s’agenouillent à la fin du Sanctus. Ils se lèvent pour le Notre Père et s’agenouillent après l’Agnus Dei. Les fidèles se relèvent après la lecture de l’antienne de communion pour l’oraison de la postcommunion (précédée d’un dominus vobiscum). Ils s’agenouillent pour recevoir la bénédiction et se tiennent debout pendant le dernier évangile (exceptée la génuflexion au et verbum caro factum est).
Aux messes chantées, les fidèles se tiennent debout depuis le coup de cloche de l’entrée jusqu’à l’épitre. Ils se tiennent debout à partir de la reprise de l’Alleluia (quand il y en a un) ou dès le départ de la procession d’Evangile. Ils se tiennent debout à l’Evangile (comme au Gloria). Ils s’assoient après la lecture de l’antienne d’offertoire. Ils se lèvent pour être encensés. Ils se tiennent debout pour le dialogue de la préface et restent debout jusqu’à la fin du chant du sanctus. Tous se relèvent pour le chant du Pater Noster et restent debout jusqu’à la fin de l’agnus Dei où ils s’agenouillent. Après l’antienne de communion, les fidèles se relèvent pour l’oraison de la postcommunion (précédée d’un dominus vobiscum). ils s’agenouillent pour recevoir la bénédiction et se relèvent pour le chant de l’antienne à la Sainte Vierge Marie.
Ces normes ne sont pas facultatives. Les disparités ou discordances entre les fidèles sont causes de troubles légitimes chez les nouveaux arrivant à la messe traditionnelle qui ne savent pas quelle est la règle à suivre. Il convient par esprit d’obéissance et dans un esprit missionnaire d’harmoniser notre prière liturgique. Il serait trop long d’expliquer ici le sens de chaque position, ou la différence qu’il y a entre la messe lue et la messe chantée. Je me tiens néanmoins à votre disposition pour des renseignements complémentaires.
En vous assurant de mes prières
Abbé Eloi Gillet
